Recettes

Not every meal needs noise. Some sit quietly in your chest and heal you from the inside. Soft yam, smoky palm oil, beef that falls apart — this is comfort cooked slow.

Spaghetti with colour, attitude, and heat. Tossed in oil, kissed with pepper, and served with grilled chicken that’s been through fire and came out tender.

Quick doesn’t have to mean careless. These noodles are alive — stir-fried with spice, packed with peppers, and paired with a fluffy omelette that holds its own.

A smooth-talking plate with no bad side. Garlic butter spaghetti that melts in your mouth, grilled chicken that holds your gaze, and peppered beef sauce that slaps.

This is how you plate balance — humble rice and beans, wild peppered sauce, sweet plantains, and grilled chicken anchoring everything like a king.

A plate full of heritage. Ugba that hits deep, peppered kpomo that takes its time, and plantains fried just enough to sing without saying a word.

White rice and chicken pepper soup — a humble, spicy, and soul-soothing Nigerian dish that delivers deep comfort and flavour.

Spaghetti stir-fried with sausage, chicken, and veggies — full of bold flavour and cooked to perfection in true Naija-style.

Vegetable fried rice with tender grilled chicken and creamy coleslaw — a warm, nourishing plate full of flavour and comfort.

Creamy coleslaw and a citrusy lime drink — the perfect light combo for clean, refreshing, and feel-good moments.

Soft egg and sausage sandwich with crispy sides — a comforting breakfast that feels like calm and tastes like home.

Nostalgic fried rice with sausage and chicken, paired with creamy coleslaw — a warm plate that tastes like peace after a long day.

C'est le genre de matin où l'on ne se précipite pas. Une musique douce, des chaussettes épaisses et aucune pression. C'est sucré sans trop d'efforts, familier sans être ennuyeux. La banane fond dans le toast comme si elle était là depuis toujours – un peu comme ces personnes qui entrent dans votre vie et vous font vous demander comment vous avez pu vivre avant elles.

C'est ce genre de repas bruyant, sans complexe, où l'on se dit « Je mérite quelque chose de bon ». Le genre de repas qu'on s'offre après une semaine difficile ou un mardi sans raison. C'est savoureux, ça crépite sous la dent, et chaque épice vous dit : « Tu as réussi. » Ce n'est pas du poulet, c'est une thérapie, frit.

Voilà le goût de « la maison me manque ».
Riz moelleux, légumes verts à feuilles, poulet épicé : le trio indémodable.
Ça rappelle les dimanches après-midi, les mères qui n'ont pas besoin de tasses à mesurer,
et la paix qui réside dans les casseroles.
Une bouchée et soudain, vous avez huit ans de nouveau, pieds nus dans la cuisine, à voler de la viande.

Il y a quelque chose dans les pâtes qui donne toujours l'impression d'être une expérience – mais celle-ci ? Celle-ci vous surprend. Un peu moelleuses, un peu moelleuses, pleines de saveur grâce à la viande frite et à l'œuf coulant et riche. On dirait qu'on découvre la vie en temps réel : un plat complexe, audacieux, mais qui vaut chaque bouchée.

Voici le plat que l'on prépare quand on se languit de chez soi – pas seulement d'un lieu, mais d'un moment, d'une émotion, d'une personne. L'igname se défait délicatement, l'huile scintille comme un souvenir, et les légumes nous rappellent que même l'amertume peut être belle lorsqu'elle est équilibrée. Ce n'est pas seulement un repas. C'est un souvenir.

Ce ne sont pas que des nouilles : c’est ce que vous cuisinez lorsque le silence dans votre chambre vous semble trop pesant.
Quand vous ne savez pas si vous avez faim ou si vous êtes simplement fatigué… mais que, quoi qu’il en soit, vous avez besoin de chaleur.
Le grésillement d’une saucisse, le tourbillon d’un œuf, le piquant d’un poivre : cela remplit plus que votre estomac.
Cela remplit l’espace.